Lise ou Lisette ?
Envisagé en mars, taillé en juin, monté en août, mon petit haut tiré du fameux Lisette est, comme qui dirait, un rapide ! Pourtant, j'avais fait le choix d'aller au plus simple, au plus sobre (un peu de sobriété ne nuit pas à la santé, si l'on reste modéré, Hic !!!).
C'en était même paradoxal : le petit haut Lisette tire tout son charme de sa blancheur diaphane et de ses broderies, que l'on peut, à la rigueur, convertir en dentelles... Il n'en fallait pas plus pour que je décide de réaliser le mien sans la moindre fioriture, sans dentelle ni broderie ni ornement. Un Lise, quoi, plus qu'un Lisette...
Pour autant, j'ai monté les biais et réalisé des petites manches, comme dans le modèle, suivant en cela fidèlement le patron.
Et bien mal m'en a pris... Il faudra que l'on m'explique comment sont faites les japonaises (parce que cela ne peut pas être moi, évidemment, le problème !!!) : les pinces poitrine se désolidarisent totalement de la direction de ma poitrine, mal indiquée, sans doute, et peu visible, mais bon !
Pour le reste, le biais du col a tendance à se relever, ce qui donne à l'ensemble un petit tour années 50 qui n'est pas pour me déplaire.
Bref, contente je suis, mais sans plus... à suivre.